Auteure missionnée au départ par l’iddac, agence culturelle de la Gironde et la Drac Nouvelle-Aquitaine, pour raconter l’expérience de deux projets d’éducation artistique et culturelle menés par la Cie le Chat perplexe et par Le Bruit du frigo, – tous les épisodes à lire ici – en vue de la mise en place d’un Contrat Territorial d’Éducation Artistique et Culturel dit CoTÉAC, Sophie Poirier s’est peu à peu effacée pour prendre le maquis. Embrigadée (ou volontaire ?), le réseau du Balbizar l’a intégrée sous le nom de code : Simone de Bienvoir.
On apprend également que le réseau Balbizar a investi les écoles de Beautiran, d’ateliers chanson en ateliers danse, convertissant ainsi des classes entières, enseignants compris.




À Saint-Morillon, c’est au tour d’une pharmacienne de basculer à son tour dans la clandestinité. Elle était fragile depuis son apparition dans le film Le mystère du CoTÉAC, dans lequel on la voit vanter les bienfaits de la culture au son de l’accordéon. Nous ne sommes donc pas étonnés d’apprendre qu’elle prend le maquis à son tour. Nom de code : Olympe Je-Bouges
Il ne serait pas étonnant que d’autres suivent ce même chemin de la clandestinité et qu’on les retrouve tous au Balbizar, jeudi 28 juin à Castres-Gironde…
à suivre